Darwin
Arrivées à Darwin, Marina l’italienne, Judith et moi, nous décidons de prendre un taxi en commun car nos hôtels respectifs sont très proches. Je ne reverrai pas Marina qui part en excursion dès le lendemain.
Darwin
Arrivées à Darwin, Marina l’italienne, Judith et moi, nous décidons de prendre un taxi en commun car nos hôtels respectifs sont très proches. Je ne reverrai pas Marina qui part en excursion dès le lendemain.
Ayers Rock ou région Uluru/Kata Tjuta – « Couleurs du Désert »
Avant de parvenir à cette région qui se trouve à plus de 400 km d’Alice Springs, nous aurons quelques arrêts, bien sûr (dont la ferme des chameaux, une autre étape avec émeus et volières…) avant d’arriver au campement sommaire à Yulara, où nous attend un sympathique repas cuisiné par la compagne de notre guide, lequel s’appelle Brooks. (suite…)
Adélaïde – Le « Ghan »
C’est à partir d’Adélaïde que je suis partie sur Kangaroo’s island, puis à mon retour, j’ai embarqué sur ce train mythique -the Ghan- qui traverse toute l’Australie du Sud au Nord (Adélaïde-Darwin). (suite…)
Kangaroo Island
Après deux heures de bus depuis Adélaïde, puis ¾ d’heure de Ferry, me voici arrivée sur cette île qui sera riche en paysages et me permettra de voir un certain nombre d’animaux. (suite…)
Sydney
Avant d’atterrir, je suis impressionnée par l’étendue de cette ville, qui compte plus de 4 millions d’habitants !
L’aéroport est à une vingtaine de km, et comme aucun transfert n’est prévu, je prends un taxi. Mon hôtel est en plein centre-ville, à moins d’une demi-heure à pied des sites les plus remarquables : le Harbour Bridge (Pont qui fut la fierté des Australiens – 6 ans pour le construire et inauguré en 1932 ), l’Opéra, construit dans les années 60 et qui est aussi exceptionnel que les photos, archi-connues, laissent imaginer.
5 jours pour prendre le temps de visiter, mais ne me laisseront nullement me poser, comme je l’imaginais…
Arrivée en début d’après-midi, je pars déjà prendre connaissance des lieux, du port, repérer l’endroit où j’ai rendez-vous le lendemain à l’Opéra. Je suis impressionnée par l’affluence qui règne en ces lieux, car il y a les bateaux, et surtout les Ferrys aux rotations très fréquentes et qui drainent un grand nombre de gens.
Le lendemain, je me rends donc à l’Opéra et j’apprécierai ce concert Schumann, si aimablement offert par mon agence de voyages. La visite guidée des lieux ensuite (nous étions 5 personnes) fut également appréciée car le lieu est surprenant. La conception de l’édifice et sa réalisation furent très controversées et menacées même d’abandon, tant la géométrie de la structure était compliquée. Ce fut un architecte danois qui dessina l’oeuvre d’Art mais par la suite ce sont les australiens qui continuèrent la réalisation. Le résultat est là : exceptionnel !
La visite m’a permis de visiter les 5 salles (3 petites et deux grandes), les locaux techniques, immenses, en sous-sol, d’ assister à une répétition dans la partie « music-hall » et de voir la mise en place d’un décor pour une représentation de la Tosca, prévue en soirée.
Bref, une après-midi de qualité.
Le lendemain, je prendrai un ferry pour Manly, presqu’île au Nord de Sydney fort prisée, à une demi-heure de navigation. Navigation fort plaisante, car on longe d’abord le jardin botanique, puis un port de plaisance (il y en a plusieurs à Sydney) avant de s’éloigner vers Manly.
Je longerai la superbe plage avant de me lancer dans une longue balade, abrupte, car l’île est bordée de falaises.
Au retour de ma promenade, j’ai enfin pu me poser et déjeuner dans un superbe restaurant de poisson que m’avait recommandé le syndicat d’initiative à la sortie du ferry.
Retour à Sydney, le programme de ce soir est chargé car je vais aller assister à la grande parade, dans le cadre du Nouvel An chinois (année de la chèvre – ou du mouton). Parade qui se déroule dans le quartier de mon hôtel. Je m’attends à une grande affluence vu la publicité faite pour cet évènement Je vais donc m’installer assez tôt sur les marches de l’hôtel de ville, départ de la parade. Il n’y a déjà presque plus de place pour s’asseoir !
Au milieu d’un groupe de chinois, j’aurai l’occasion de m’exercer dans la langue de Confucius… Nous avons bien ri et l’ambiance était très gaie.
La parade fut vraiment une démonstration de l’importance de la Communauté chinoise à Sydney : défilés des différentes provinces de Chine, démonstrations d’arts martiaux, représentations des mythes autour des signes zodiacaux, chars, plutôt style Dysneyland, car ce qui manque encore aux chinois, c’est le côté esthétique !
Bref, la parade fut interminable : plus d’une heure et demie ! et pas question de rester assis, tout le monde était debout !!
Sur le mur de l’immeuble en face étaient projetées, en continu, des images de mouton…cf photos
Et depuis le toit du même immeuble, des feux d’artifice étaient lancés !! Une vraie démonstration de l’importance de la Chine sur ce continent (les discours interminables du maire de Sydney, au début de la soirée, montrent à quel point la Chine a sa place ici)
Mes photos ne sont pas terribles car c’était très difficile d’en prendre, vu le nombre de personnes présentes et de plus, des projecteurs tournants compliquaient encore ces prises !
Dernier jour : tôt ce matin, je dois me rendre au Harbour Bridge car je me suis inscrite pour l’Ascension de cet édifice : temps prévu 3h30 !
En fait, il faut beaucoup de temps de préparation avant de se lancer dans l’ascension proprement dite. Présentation du site, recommandations, petit entraînement sur un portique pour la familiarisation du maniement des prises que l’on doit faire glisser sur les câbles auxquels on est « encordés ». Mais aussi enfilement d’un uniforme (voir photo),avec casquette, et casque audio pour écouter la guide. On doit laisser toutes nos affaires dans un casier , même les appareils photo sont interdits… déception !!!
L’ascension est sportive car nous montons tout en haut de l’édifice, sur l’arche la plus haute ! (300 m au-dessus de l’eau , il ne faut surtout pas avoir le vertige !
Beaucoup de marches, donc, mais ce n’est pas aussi dur que la brochure sous-entend.
Pendant notre ascension, notre guide nous décrit la ville bien sûr, l’histoire du lieu et même des anecdotes car certaines ascensions ont lieu pour un évènement précis ! par exemple une demande en mariage tout en haut…sauf que le fiancé a fait tomber la bague : Plouf dans l’eau ! l’histoire ne dit pas si le mariage aussi est tombé à l’eau !!!
Redescendue sur terre, je vais m’offrir un super steak (les viandes sont très bonnes, en Australie, aussi) car j’ai quand même dépensé beaucoup d’énergie…
Le soir, je reviendrai sur le port pour admirer Sydney « by night », les gratte-ciel deviennent plus beaux la nuit…
Le lendemain, dans la matinée, je partirai sous une pluie diluvienne, je me demande si l’ascension du Harbour Bridge est maintenue dans ces conditions ???
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Queenstown – Fin de mon périple en Nouvelle Zélande
Je refais la route en sens inverse, en prenant le temps cette fois de faire quelques arrêts pour admirer le paysage du lac, et prendre quelques photos.
En arrivant à Queenstown, avant de retourner à mon B & B, je m’aventure en ville pour aller jusqu’au départ de la « Gondola », le téléphérique que je prendrai demain matin. L’inclinaison de montée est presque verticale !!!
Cette ville est (encore un) paradis pour les sportifs : l’hiver, le ski, et l’été tous les sports nautiques, aériens, etc…J’ai même vu, pour la première fois, une activité sur le lac, que je ne connaissais pas (voir photo). Celui qui se balade dans les airs est soutenu par un « tuyau » véhiculant de l’eau (ou de l’air) à forte pression ????. C’est le spectacle que j’ai eu pendant mon déjeuner sur le port…
Le lendemain, avant de partir prendre la « Gondola », j’ai rendu ma voiture, très soulagée de n’avoir commis, ni subi, de dégât !
En haut du téléphérique, la vue était vraiment superbe. Avant de redescendre, j’ai fait une petite randonnée, la dernière sur le sol néo-zélandais.
Le dernier matin arrive, le dernier shuttle commandé la veille est presque à l’heure, mais j’ai de la marge avant de m’envoler vers l’Australie. Derrière mon hublot, je pourrai encore admirer, de haut, les extraordinaires montagnes de la Nouvelle Zélande.
Queenstown – Te Anau
Arrivée à Queenstown vers 16h30, j’ai le temps de descendre jusqu’au port et de visiter un peu cette petite ville que je retrouverai dans quelques jours, puisque que c’est d’ici que je quitterai la Nouyelle Zélande pour m’envoler vers Sydney. (suite…)
Christchurch
Le trajet du train, depuis Picton traverse de superbes paysages, variés pour devenir uniquement des paysages côtiers, puisque la ligne de chemin de fer suivra sur presque 100 km la côte de l’Océan Pacifique . Photos à l’appui…
WELLINGTON et PICTON
Ce sont deux villes que j’associe car je n’y passe que très peu de temps et elles sont reliées par le ferry qui me fait passer de l’île du Nord à l’île du Sud. Wellington est en fait la capitale de la Nouvelle Zélande, alors qu’on parle plus souvent d’Aukland ! Il règne dans cette ville une ambiance particulière car dans deux jours commence la Coupe du Monde de Cricket (bien sûr, il n’y aura pas d’équipe française !!!!) mais les gens dans les taxis, les shuttles ne parlent que de çà. Ce qui m’attire , moi, dans cette ville c’est son Musée qui est le plus beau de la Nouvelle Zélande. Je le visiterai le lendemain de mon arrivée. C’est surtout la culture Maori qui est à l’honneur, elle est très mise en valeur, c’est particulièrement émouvant.
Mais il y a aussi dans ce Musée un autre sujet très scientifiquement abordé : les tremblements de terre, et l’on peut même expérimenter, à une dose 50 fois moindre que la réalité, une mise en scène d’un tremblement de terre, à l’intérieur d’une maison. Très réaliste !!!!
Il y a beaucoup de documents édifiants sur l’avant dernier tremblement de terre à Napier, en 1931, dans la partie Nord de l’île.
En matière de tremblements de terre, il faut dire que la situation de la Nouvelle Zélande est très critique car elle est traversée du Nord au Sud par l’une des failles les plus importantes de notre terre !
Wellington est très concernée et c’était plutôt elle qui était « pressentie » par les alertes sismiques en 2010, mais c’est Christchurch au nord de l’île du Sud qui a été touchée. Les nombreux stigmates de ce terrible évènement sont encore très visibles dans cette ville où je serai dans deux jours. Pour l’heure, à Wellington, c’est donc l’excitation sportive qui prédomine. Je dois toutefois préciser que pendant que j’étais sur place, j’ai « senti » bouger la structure de l’hôtel, c’était faible mais il paraît que c’est très fréquent ! Le premier soir de mon arrivée, je suis allée dîner dans un restaurant tout près de mon hôtel et la serveuse m’a installée près de la vitrine, ce qui m’a fait sourire, car j’étais en pleine vue pour les passants qui descendaient la rue, et je me disais que si quelqu’un que je connaissais passait à ma hauteur, il ne pouvait absolument pas me rater !!! eh bien, c’est ce qui est arrivé : je croise le regard d’un jeune homme, qui lui aussi, me reconnaît ; Nous étions assis côte à côte au cours du repas Maori et nous avions beaucoup échangé, c’est un jeune suisse allemand qui ne parlait pas le français. Il me fait comprendre qu’il termine sa cigarette et qu’il me rejoint. Nous voici donc à nouveau réunis à table mais lui, a déjà dîné. J’appelle la serveuse pour qu’elle lui serve un verre de vin blanc (Chardonnay), comme moi, et nous passons, ma foi, une agréable fin de soirée. Lui, a déjà loué une voiture, peut-être nous recroiserons-nous ? il prend le ferry demain matin, un jour avant moi.
PICTON
Depuis Wellington, le trajet en Ferry est vraiment magnifique. On aperçoit très vite la côte de l’île du Sud et c’est à travers de superbes fjords que l’on slalome pour rejoindre Picton.
Le petit port est charmant et je profiterai au maximum de ce bel endroit où je ne resterai que 24 H.
Ma pension de famille est tenue par Ian et Paula un couple adorable avec qui j’ai l’impression d’avoir passé beaucoup de temps, car ils sont très chaleureux et disponibles. Leur breakfast, succulent, avec d’autres convives, durera plus d’une heure ! Sur le conseil de Ian, je pars faire une jolie balade d’une heure et demie, qui a pour but une baie, inaccessible par la route.
Il faut beaucoup grimper, redescendre, mais c’est très ombragé et les cigales locales s’en donnent à cœur joie. Elles ressemblent aux nôtres (voir photo) mais leur cri est plus strident encore car, sur une seule note !
Arrivée à la baie, je vais tremper mes pieds mais aucun baigneur dans l’eau, il y a des méduses, petites et sans doute inoffensives mais cela freine, c’est sûr. Je repars en prenant un autre circuit de randonnée qui me conduira plus haut pour une très belle vue sur le port de Picton.
J’y rencontre un couple d’américains, de Chicago, assis sur le banc, qui semble épuisé, et nous bavarderons un bon moment ensemble, avant que je ne reprenne le chemin du retour sur Picton. Le lendemain matin, à la fin du super petit déjeuner dont j’ai déjà parlé, Paula nous apporte à tous un gâteau de sa confection. Gâteau qu’elle confectionne à chacun de tous ses clients depuis des années et la finalité dudit gâteau, c’est d’être mangé chez la personne, à son retour, de prendre une photo et de lui envoyer ! elle nous apporte un superbe album et de nombreuses photos sont cocasses, notamment celle d’un médecin qui a fait une radiographie du gâteau !!! C’est valable pour ceux qui rentrent bientôt, mais moi qui n’en suis qu’à la moitié du parcours, je n’ose imaginer la tête du gâteau si j’attends mon retour pour le manger. J’ai décidé de le manger juste avant de quitter la Nouvelle Zélande, je réfléchirai à la mise en scène !!! Le lendemain, c’est Paula qui m’accompagne en voiture à la petite gare, elle tient à m’accompagner jusque sur le quai ! C’est un trajet de 4 heures qui m’attend, aux paysages magnifiques, qui longe pendant plus d’une heure la côte de l’océan pacifique pour atteindre Christchurch.
ROTORUA La ville se situe au centre de la région des sources chaudes et c’est également un paradis pour les sportifs en tous genres. Ce qui m’intéresse bien sûr c’est le secteur « thermal », très spectaculaire que je visite dès le lendemain de mon arrivée. Les sources chaudes sont alimentées par les volcans, dont certains restent encore en activité (la dernière éruption volcanique remonte à 1936 en faisant de nombreux dégâts et victimes…) (suite…)